Presse citron répond aux attaques...

Presse citron répond aux attaques...

http://www.presse-citron.net/communication-de-crise-sagesse-des-foules-ou-betise-des-meutes

Extrait: " Soit une dizaine de billets sponso sur plus de 4700 articles en 4 ans, vraiment pas de quoi se tirer sur la tige en criant au loup (j’espère n’en n’avoir pas oublié, mais je vous fais confiance pour me les indiquer si c’était le cas, je les ajouterai à la liste). Je vais ensuite créer une rubrique dédiée sur une page qui regroupera cette liste et que j’actualiserai au fil des publications de billets sponsorisés. 2. même si le mépris et l’ignorance sont souvent la meilleure attitude à adopter, il faut parfois savoir dénoncer pour protéger sa réputation. Et donc dénoncer les personnes qui s’amusent à colporter ces rumeurs et qui apparemment en on fait le combat de leur pauvre existence. Un exemple ? Marie Julien, aussi connu sous le nom de Julien Dubedout ou encore Inkboy, graphiste de métier, comme l’autre. Lisez donc cet article, qui est une véritable escroquerie intellectuelle, et ses commentaires, et vous comprendrez mieux de quoi je parle. Il y en a d’autres si vous faites une petite recherche sur le terme Presse-citron dans le blog MarieJulien.com. L’auteur(e) de ce blog ne rate pas une occasion de faire mon procès à grands renforts d’arguments grotesques et de contre-vérités : vous trouverez MarieJulien (qui signe Julien ou Inkboy) dans tous les fils de discussion me concernant sur le web, car il semblerait que l’aigreur et la jalousie constituent un carburant inépuisable. Quand vous voyez un post parlant de billets sponso sur Presse-citron, regardez bien d’où cela provient et vous comprendrez quel crédit lui accorder. Il y en a bien sûr quelques autres (une petite poignée tout au plus) et ils appartiennent à peu près tous à la même galaxie, qui est aussi celle du jeune homme énervé. Sachez juste que ces gens me détestent sur la base de fantasmes qu’ils entretiennent chaque jour sans trop savoir pourquoi. C’est culturel, on n’y peut rien. Moi aussi il y a des gens que je ne peux pas blairer, la seule différence étant que je ne les lis pas, je ne les fréquente pas, je ne les écoute pas. Et surtout je n’en parle pas, c’est plus simple et ça m’évite de gaspiller mon temps..."

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