"Les déficits progressent de façon vertigineuse depuis deux ans : déficit budgétaire voté à 67 milliards d’euros et porté désormais à plus de 130 milliards, déficit de la sécurité sociale évalué à plus de 20 milliards, déficit du commerce extérieur estimé à 55 milliards. Mais ce qui est peut-être plus grave encore, c’est le sentiment de fuite en avant - alimenté notamment par le projet de grand emprunt - et de passivité devant les déficits qui crée dans le pays un climat de fatalisme que l’on n’avait pas connu depuis la fin de la IVe République. »
extrait de son analyse:
Cette fuite en avant est terrible. Elle est ponctuelle car il y a d’une part la crise et d’autre part la mauvaise politique économique du gouvernement. Elle est ponctuelle mais éternelle. On ne verra jamais un programme politique qui promet d’augmenter les impôts ou, surtout, qui ne promet pas de ne pas dépenser plus en ne faisant rien.
Ah ! Si ! Mais en marchant sur les mains. Notre brave gouvernement a entamé la destruction de l’Education Nationale en ne remplaçant pas environ 30000 postes au nom de la « dépense publique » mais c’est tout juste s’il va réussir à économiser un ou de milliards tout en ayant poussé le déficit public à un sommet jamais égalé : de l’ordre de 140 milliards. Vous pouvez vérifier : 30000 postes coûtent, en gros, moins d’un milliard."
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bravo pour l'analyse.
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1 commentaire:
Merci !
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