10/30/2014

Le top 5 des buzzs du mois d’octobre

Le top 5 des buzzs du mois d’octobre

Quand on se scandalise pour pas grand-chose, il est sûr que cela fera du buzz sur le net. Quand se surexcite sur des sujets qui n’intéressent pas grand monde, on passe pour une gogo-girl. En effet certaines personnes sont fières de leur présence massive sur Facebook et Twitter. Mais on va voir que comme dans d’autres buzzs, ce n’est pas toujours sur ce terrain que la communication politique est la plus efficace.



Les buzzs qu’on cherche
La question a déjà été posée par les journalistes à Nadine Morano pour savoir si ses déclarations (notamment par les tweets et les statuts facebook) étaient faites pour créer un buzz. « N’importe quoi », répond-elle. Le dernier buzz en date, c’était le 14 octobre dernier. « Scène en Gare de l'Est à Paris, je viens de croiser une femme avec une burqa à qui je demande de respecter la loi. Son mépris est total ». C’est par ce tweet que l’eurodéputée s’attire une fois de plus les railleries des internautes. Selon des professionnels de la communication numérique, les internautes la likent et la suivent sur sa page juste pour s’informer de ce qu’elle fait, mais également pour s’amuser. Des internautes utiliseront ses paroles pour se moquer d’elle. Déjà, le fameux « scandale » de la femme voilée sur la plage, attendant sagement son mari parti se baigner a été parodié. L’indifférence de la femme qu’elle a interpellée à la gare et celle du policier montrent bien c’est un buzz qui crée trop de bruit pour rien.  

Les buzzs qui nous tombent dessus et ceux qui nous laissent bouche bée

Parmi les buzzs qui laissent bouche bée, on pense à l’histoire datant du 5 octobre d’un bébé qui peine à reconnaître son père qu’il voit pour la première fois sans barbe. Comme quoi, la mémoire humaine se développe assez tôt. Sinon, des buzzs nous prennent parfois au dépourvu. C’est ce qui est arrivé à Manuel Valls le 22 octobre dernier à la FNAC de Paris. Le matin, il s'entretient avec François Hollande à l’Elysée. L’après-midi, il va visiter la FNAC mais ne s’attend pas à ce qu’une certaine Zahia pose avec lui. Il affiche un sourire un peu crispé. La plupart des internautes pensent à un coup monté. De plus, Zahia s’est empressée de publier les photos sur son compte Twitter. Amplement suffisant pour créer le buzz. « Laurent Gerra vient de nous quitter. RIP. ». C’est un tweet datant du 28 octobre qui annonce la fausse mort de l’humoriste. Il n’est d’ailleurs pas la première personnalité visée par ce genre de blague de mauvais goût. D’ailleurs, la jeune chanteuse américaine Demi Lovato en a fait l’objet le 27 octobre dernier. La rumeur part sur Twitter exactement de la même manière que pour L. Gerra : « Demi Lovato vient de nous quitter. RIP ». Cela suffit à susciter un emballement médiatique. Ce genre de buzz, certaines agences en tirent des bénéfices. On pense à des sites qui lancent exprès des rumeurs de fausses morts sur Twitter pour provoquer l’emballement médiatique. Ils expliquent ensuite qu’il s’agit d’une rumeur en précisant qu’elle est infondée. Comme quoi, ce genre de buzz est une garantie pour les sites que de nombreux internautes liront leurs articles. Une technique de référencement peu répandue dans le monde de la création web cependant, et effectivement pas très utilisée par les agences de sous-traitance web.  


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